Black Velvet
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

Partagez
 

 ... Et si je me cachais ? [finie]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Moho Ferglissens
Professeur
Moho Ferglissens

Messages : 26
Points : 105
Date d'inscription : 30/09/2012
Localisation : Au coeur d'une symphonie.

Carte étudiante
Groupe : Enseignants.
Année : /
Liste des cours à l'horaire:

... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] EmptyDim 30 Sep - 10:25


Moho Ferglissens


informations

Âge : vingt-cinq ans.
Nationalité : anglaise, coréenne (se prenant pour un japonais) et française.
Groupe : enseignant.
Poste : professeur de français de première et deuxième année et si possible professeur de littérature de deuxième année.
Poids : quarante neuf kilogrammes.
Taille : un mètre soixante-seize.



Description physique

« On s’évertue à écrire le plus possible des chansons qui n’ont ni sens, ni vérité. »


De temps en temps, la vie fait mal les choses. De temps en temps, les hommes et les femmes ne sont pas ceux que l’on pense être. L’androgynie, un mot, une ligne, un chapitre, un livre, un cri, une déchirure, une incompréhension, un sourire, le ciel, des anges. Un peu un petit n’importe quoi. Une anomalie. Un soupir discret : l’auteur s’étouffa.

Que dire pour le décrire, lui ?

Que dire de sa longue silhouette, de sa peau pâlotte rougissant à chaque baiser ? Cette peau si tendre qu’on voudrait la goûter, ici et là. Goûter sa douceur et s’enivrer de la chaleur de son odeur. Se réconforter en la sentant caresser délicatement votre joue. Sentir ses paupières frissonner contre votre épaule. Cette peau qui tremblerait au son de votre voix. Cette peau collant à son corps et recouvrant, pleine de gentillesse, ses membres et ses courbes légers et innocents, avait le privilège de tout savoir de lui. Sentir ses membres se tendre à chaque effleurement, observer ses lèvres se pincer, ses sourcils se froncer.
Aussi le vent vous dépassait à cause de ce fameux privilège, ce fameux pouvoir de caresser un visage sans que la victime de ces lubies et obscénités n’en soit avertie, sans avoir reçu un quelconque accord il s’invitait à jouer dans cette chevelure noire intense lui cachant délicatement la nuque, souvent nouée par un stress inexplicable. Deux mèches se permettaient de lui caresser les joues en retombant de chaque côté de son petit visage frais et une autre encore venait aussi lui tomber sur le bout du nez, faisant oublier son front légèrement bombé ; ses yeux étaient la première chose à observer : même s’ils pouvaient sembler hostiles au premier regard, on remarquait ce léger soulagement que de vivre encore, ce léger engouement au ciel bleu, cette petite étincelle ailleurs qui éclairait son visage, et encore et par-dessus tout, ses yeux taillés comme des amandes rappelaient ses origines asiatiques enfouies dans la finesse de ses traits… les longs cils venaient les entourés, venaient chatouiller ses pommettes quand il fermait les yeux, venaient ensuite taquiner cette partie que je ne saurais nommée, ce petit os sous les sourcils qui n’est sûrement jamais appelé. Mais il ne fallait surtout pas oublier les deux arcs fins et ordonnés restés cachés derrière les fils fins composant sa chevelure ; ensuite, en glissant son doigt sur une arête fine et recourbée, on entrait doucement – car il ne faut surtout pas se brusquer – en contact avec son nez légèrement retroussé, moyennement long – car sinon, on sait que les nez plats ne sont pas très beaux et ceux trop longs font assez « vielle femme aigrie – fier et délicat. Rougi, d’hiver comme d’été, à s’en demander s’il n’était pas en permanence enrhumé ; ensuite, on longeait cette passerelle entre ses deux narines qui débouchait sur le doux creux, un ancien lac asséché, ou encore un secret tut. Alors on empoignait ses joues, gonflées d’agacement, rosies par la vie, par les mots doux, par les taquineries, des joues couvertes d’un duvet blond invisible. Des joues que la barbe n’avait pas réussi à conquérir après moult batailles. Après, finalement, on pouvait se permettre, un léger sourire collé au visage, de prendre son menton en lui caressant du pouce les lèvres. Des lèvres qui se seraient voulues discrètes et fines, pour ne susciter aucun intérêt, des lèvres qui auraient aimé être sèches pour ne devoir aucun baiser. Mais non, car ce dont il avait envie, lui, n’était sans doute pas dans les goûts de la vie. Une bouche pas si large, aux lèvres oscillant entre un beige orangé et un rose léger – saumon, dit-on – toujours humides et retroussées en un sourire doux laissant apercevoir la blancheur éclatante de sa dentition. Alors on se permettait de longer sa gorge appétissante et embrasser ses frêles épaules, longer ses bras où la peau se faisait plus transparente encore, où l’on pouvait apercevoir les veines jusqu’au poignet. C’est alors qu’on embrassait sa paume toujours recouverte d’encre, car il n’arrivait décidément pas à se rappeler des choses si elles n’étaient pas écrites. Ensuite, ses longs doigts se donnaient en spectacle : ils nous distrayaient en nous massant, en nous jouant un concerto au piano ou au violoncelle, nous peignaient sur quelques toiles quand le temps ne manquait pas, et préparaient des festins quand l’envie les prenait. On oubliait ses doigts de fée pour souffler sur son torse. Ses côtes légèrement saillantes, ses boutons de chair – il avait d’ailleurs un piercing, un barbell droit, sur l’un – son petit nombril puis ses hanches. La douce courbe n’était pas aussi prononcée qu’on pourrait le prétendre, dans le fond il restait un garçon. On peut remarquer de légères cicatrices dans son dos. Dans le passé il s’était fait un piercing corset que son corps a fini par rejeté et qu’il a dû retirer après un certain moment (mais il n’arrive pas à avouer que sont ces marques, vu qu’il l’a caché à son entourage).
On pose ensuite les mains sur son fessier ; plutôt rebondi, son postérieur n’est pas vraiment ferme, mais la remarque le fait ciller, alors on évite de le mentionner en sa présence.
Ses jambes, longues, fuselées, d’une souplesse ahurissante. Elles entourent vos reins ou s’adaptent à n’importe quelle po… Je vais me taire, restons décents !


« Je me demande si les cordes des pianos souffrent. »


Les mots sont trop doux, trop clairs mais pourtant trop clairs. Trop de vibrations parviennent à nos oreilles. Un petit éclat léger, un bruissement. Aussi discret qu’un doigt qui glisse sur la surface d’un lac, oui, c’était cela son ton de voix. Un alto. Car la sonorité masculine était trop grave pour ses cordes vocales. C’était rare de l’entendre crier, aussi, car sa voix avait tendance à se briser avant d’avoir atteint le maximum d’un être humain normal. Une voix presque maternelle. Mais quand il le fallait, il avait bien sûr ses petits moyens pour faire taire une classe agitée…


« Les jonquilles ne m’ont jamais plu. »


L’habillement est souvent synonyme de complexe, il y a toujours quelqu’un à qui cela ne plaît. S’il l’avait pu, d’ailleurs, tous les jours il porterait ses kimonos brodés de mille motifs raffinés, mais ce n’était pas convenable. Ses parents lui avaient dit, puis il avait accepté d’acheter ces fameuses tenues pour le travail : des chemises plus ou moins colorées lui semblant fades et sans personnalité et des pantalons pour n’importe quelle occasion. Autant dire que ça pourrait le faire tourner de l’œil.

Il ne l’avouera jamais, mais, il met toujours une ligne de crayon et d’eyeliner pour souligner son regard.
Son style vestimentaire n’est pas vraiment varié, en soi.

Ah, et j’imagine que vous avez compris qu’il porte quand même des chaussures, hein (d’accord, je vais me cacher).



Description psychologique

« J’ai oublié de quel côté se couchait le soleil. »


La beauté de l’âme est une magnifique notion, n’est-ce pas ? Cette innocente perfection, cette gentillesse presque ingénue, mais pourtant… N’est-ce pas la plus grande niaiserie ? A cause de son apparence candide, Moho sait qu’il ne doit pas être gentil, sinon, autant se faire mère.
La douceur, il en use de temps en temps, quand l’envie vient, quand il n’est pas d’humeur à s’énerver, quand il se dit que froncer les sourcils ne donne que des rides.

Non, j’ai dit plus tôt que sa bouche était toujours fendue en un sourire, l’explication est bien sûr que c’est quand il se moque de ses élèves et de leur stupides blagues et bavardages pendant les cours. Pendant quinze minutes il peut vous faire la causette en rigolant avec vous (il dira que c’est pour que vous vous oxygéniez le cerveau, car la concentration, pour lui, à votre âge, même dans une grande école comme celle-ci est de vingt minutes. En vous oxygénant le cerveau, il vous assure que vous gagnez deux minutes d’attention) puis la seconde d’après, coller un moins un dans la moyenne car vous avez fait trop de bruit. Il se dit main de fer dans un gant de velours.
Son intelligence et son bon sens lui ont valu beaucoup de compliments de la part de ses amis, et ses recettes pour conquérir l’amour ont souvent été une réussite.

Mais c’est aussi une personne pleine de défaut en tous genres. Premièrement : sa légère timidité envers ses aînés. S’il arrive facilement à s’exprimer devant ses élèves, s’il sait qu’un collègue l’observe il se mettra à bafouiller et baisser la tête à toutes les erreurs qu’il pourrait sortir – qui seront d’ailleurs nombreuses. Deuxièmement : son impatience. Il ne peut pas attendre quelqu’un qui n’arrive pas en avance. D’ailleurs, il manque de tolérance envers ceux qui arrivent en retard aux cours. Troisièmement : il est tout le temps en train de se plaindre de tout et de rien : quand il fait beau il dit qu’il y a trop de soleil, quand il pleut il dit qu’il y a trop de bruit, quand il neige il dit qu’il fait trop froid, quand les feuilles tombent il dit que les arbres sont cadavériques… Comme si rien ne lui plaisait. Quatrièmement : la jalousie. Mais qui ne l’est pas un minimum ? Cinquièmement – ce qu’il ne considère pas comme un défaut, d’ailleurs – : la gourmandise. Sa vie tourne autour des sucreries et pâtisseries. Sa chambre sera toujours embaumée de cette odeur sucrée dont il raffole.

C’étaient les défauts majeurs, bien sûr il en a d’autres, mais ce serait trop long à expliquer.


« Le cœur est aussi compliqué qu’une femme. »


La théorie de l’univers, peu de gens la connait. Tout le monde invente sa part d’irréel et crée ses rêves enfantins dans un coin de l’esprit. Certains y renoncent, d’autres les réalisent et d’autres encore les oublient. Au bout du compte, on ne reçoit pas grand-chose à rêver, mais on n’y perd rien à part peut-être un petit peu de temps où de toute façon, on ne faisait rien.

Moho est une personne pleine de rêve. La personnalité, pour lui, se cache au fond de ceux-ci qui décrivent nos envies et qui nous sommes vraiment. Car les goûts sont trompeurs : on peut changer quelqu’un extérieurement, on peut apprendre à aimer un légume, mais on ne peut pas apprendre à arrêter de rêver. Au fil du temps, il a créé son éclosion mentale à travers ses espoirs, ses ambitions. Les pessimistes diront qu’ils ralentissent la réalité et rendent bête, pour lui c’est différent. La façon dont est le monde peut-être changée à volonté, les possibilités sont infinies, l’imagination aide, aussi. Et même s’ils ne restent que des rêves, ils sont aussi la douce amertume du passé, de l’innocente enfance, des jours heureux où l’on ne faisait rien à part jouer et travailler un minimum, où l’on riait à s’en faire des abdos, des jours où l’apparence des autres importait peu, des jours lointains.


« Les lys n’ont jamais eu d’épines, mais les roses sont trop clichées. »


Un dernier mot, un souffle, un soupir léger, un petit sourire, une larme discrète perla au coin de son œil droit avant de s’écraser sur la feuille tachée d’encre sous ses doigts engourdis.

Son passage de livre préféré : « Ah, le chagrin de l'amante délaissée. Privation. Colère. Honte. Impression qu'on ne s'en remettra jamais. Quel poète a donc décrit qu'il n'y a pire chagrin que celui d'un coeur brisé? Niaiseries sentimentales. Il aurait dû passer davantage de temps dans les geôles de l'Empereur. (...) Un coeur brisé finit par guérir. Des dents cassées, jamais. » Joe Abercrombie.


« C’est facile d’apprendre à prendre du poids, c’est plus dur d’essayer d’en perdre. »


Il aime un peu : le porno, les fleurs, danser, les karaokés, les compétitions, le poisson, les ramens, les concombres, les bananes, les réfrigérateurs, les pancakes, le café, le thé au lait, le lait concentré sucré, le miel, les harems, le chocolat noir 100% cacao, les glaces au yaourt, les gosses.

[/b]Il aime beaucoup[/b] : les tartes aux fraises, les jeux vidéos, les bonbons qui colorent la langue, les verres en cristal, le gratin de chou-fleur, les frittes, les fêtes, les mecs doux, sucer, le chocolat noir 15% cacao, chanter à voix basse, baiser, les lunettes de soleil – même s’il n’en porte jamais –, se déhancher, se lécher les lèvres, se faire désirer, prendre le bus, faire du vélo, jardiner, cuisiner, jouer de la musique, faire du shopping, les rollers, faire chier les personnes qu'il apprécie, les strip-teases, boire.

Il aime passionnément : nager, le patinage artistique, les pommes, le chocolat au lait, le parfum, prendre des douches, se coiffer, manger, se prendre en photo, les bains de boue, se déguiser, courir sous la pluie, arracher les ailes des papillons, les gars amoureux de lui, se faire caresser affectueusement la tête, danser la macarena, crier des insultes, s’enfermer dans sa chambre en claquant la porte, parler comme une pimbêche, dire « je suis qu’un enfant » d’un air innocent.

Il aime à la folie : ses parents, ses potes, ses copains, faire l’amour, les massages, les confettis, le Milka, lire, écrire, le fantastique, les films d’animation, la Saint-Valentin, les chatouilles, les blagues ou devinettes vaseuses, les baskets montantes, les piercings et les tatouages, les bains aux pétales de roses, taquiner ses élèves.

« Malheureusement, les hommes ne sont pas en sucre. »

Il n’aime pas vraiment : être moche, crier pour rien, les classes agitées, les chiens, les boissons fades, le sport, l’ingénuité, retirer du mascara, le soleil, les grandes chaleurs, faire la sieste, courir tout nu, les personnes sans aucune retenue.

Il aime pas ne rien faire, ne rien poster sur son blog pendant des jours, des semaines, des années, l'inactivité, mais il n'aime pas bouger non plus ; avoir le cerveau qui chauffe parce qu’il ne sait pas quoi dire, ça lui fout la rage, mais il se calme. Il n’aime pas savoir qu'il y a quelqu'un d'autre dans le monde en train d'écrire à peu près la même chose que lui, il aime pas l'idée d'avoir une personne qui nous ressemble en tout point côté caractère. Il aime pas les framboises qui se baladent dans ses tartes aux fraises, il aime pas les glaces de deux kilos au chocolat avec six pour cent de poudre de cacao, il aime pas les fleurs qu’il n'arrive pas à focaliser comme il le veut, il aime pas quand son chien pousse ses gémissements de douleur d'agonisant, il aime pas les grammes en trop, il aime pas quand il arrive pas à imaginer la gueule de ses propres personnages, il aime pas l'idée qu'on ne puisse pas changer de fond seulement pour le blog secret de skyrock, il aime pas aller aux toilettes, il aime pas le jaune, il aime pas les enfants qui ne comprennent rien, il aime pas ne pas réussir Paradichlorobenzene au piano, il aime pas quand il y a le trait rouge qui zigzague sous les mots, il aime pas les maths, il aime pas trainer dans la cour, il aime pas les chansons stupides, il aime pas frapper dans quelque chose et avoir mal à la main, il aime pas son rire, il aime pas la nervosité, il aime pas les garçons qui font que draguer, il aime pas être une proie, il aime pas les nuages qui font mal aux yeux, il aime pas les chansons qui ont perdu leur sens, il aime pas ravaler ses larmes pour rien, il aime pas lâcher sa voix quand il chante, il aime pas quand on regarde ses dessins sans lui demander la permission, il aime pas le plancher qui travaille la nuit, il aime pas avoir peur du feu, il aime pas mon plafond, il aime pas la pureté totale, il aime pas quand on le prend pas au sérieux, il aime pas quand on l'ignore, il aime pas les canards, il aime pas les cartes cafète, il aime pas le décaféiné, il aime pas le Coca Cola Cherry, il aime pas les bouches en cul de poule, il aime pas les énormes poitrines, il aime pas les mecs hétéros qui roulent du cul, il aime pas les invitations en boîte, il aime pas les demandes en ami, il aime pas quand on écoute de la musique alors qu’il fait du piano, il aime pas les personnes qui chantent faux, il aime pas quand Facebook parle "d'amis", il aime pas le soleil, il aime pas sortir de la douche, il aime pas faire la vaisselle, il aime pas les fautes de frappe, il aime pas copier les autres, il aime pas les fausses notes, il aime pas danser la zoumba, il aime pas jouer à Just Dance, il aime pas ne pas avoir la suite de mangas, il aime pas attendre Noël, il aime pas prendre l'avion, il aime pas avoir peur, il aime pas les messages effrayants sur les fantômes, il aime pas les épinards coincés entre les dents, il aime pas les sourires crispés, il aime pas les gens qui roulent des yeux, il aime pas quand Hauru touche Sophie, il aime pas raccompagner ses amis chez eux, il aime pas corriger les copies de ses élèves et préparer les prochaines leçons, j'aime pas faire des tests, il aime pas dormir sans veilleuse, il aime pas la poussière, il aime rater son émission préférée, il n’aime pas s’endormir devant un film d’action, il n’aime pas quand ses amis lui posent des lapins, il n’aime pas faire le ménage, il n’aime pas les chatouilles, il n’aime pas les filles candides, il n’aime pas la stupidité, il n’aime pas la Reine de Cœur d’Alice au Pays des Merveilles, il n’aime pas les chiffres, il n’aime pas quand on se moque de ses kimonos, il n’aime pas l’hypocrisie, il n’aime pas dire qu’il n’aime pas.



Histoire

Le long chemin obscur. Tout le monde se presse, d’autres finissent par s’arrêter, mais lui, il était un battant. Définitivement, il n’allait pas se laisser faire par ses concurrents ! Il fallait que ce soit lui et lui seul qui parvienne à atteindre le but suprême. La porte du monde allait s’offrir à lui, mais devant celle-ci, des dizaines d’autres se bousculaient pour tenter d’entrer. On en voyait qui se faisait éjecter, mais nous n’avions conscience de ce monde extérieur, plus ne comptait à part être celui, le seul qui gagnerait la bataille. Et si elle fut courte, elle épuisa son corps.
Arrivé, tout avait changé, tout semblait différent et transformé, il se sentait, lui aussi, comme une autre personne, complètement différente, complètement éloignée de la précédente guerre. Il avait été le meilleur et pouvait maintenant se ternir au chaud, être nourrit comme un roi. Cette situation agréable dura, mais il ne se rendait même plus compte du temps. Les journées passaient, de temps en temps, il entendait les voix de certaines personnes qu’il ne pouvait pas reconnaitre, mais ça lui était égal. Il aimait les gentils murmures qu’on lui adressait, cette affection envers lui, si douce.

Puis un jour, fatalité. Ce serait sûrement la vie de cette courte existence. Le tremblement de cet endroit qu’il habitait et qui avait été le doux foyer où se réfugier se transformait en un cauchemar, il entendait des cris autour de lui, des voix essayant de se rassurer. Il se sentait broyé dans un étau qui entravait sa liberté, il se sentait glisser vers des rivages inconnus : c’était la fin. Un chœur de voix s’élevait, il se sentait poussé en avant et battu comme du blé, puis… la douleur était insoutenable, ses poumons avaient pris feu, il ne reconnaissait pas cet endroit, il ne voyait rien non plus…
« Ca y est, il est né mon chéri, notre fils est né. »
Cette voix si familière, ce ton si doux, malgré que les sons ne fussent que bourdonnements à son oreille… On l’emmena loin de cette voix, il le sentit, cria de toute ses forces sans pouvoir y changer quelque chose.
On le lava, alors qu’il se posait des questions comme « mais où est ma mère ? », « où suis-je ? », « qui sont ces personnes ? », car il avait compris qu’il y avait un lien entre la pousseuse de cri et cette dame épuisée allongée sur son lit, et les petits yeux noirs de l’enfant avait vu trouble, mais juste.
La dame le serra délicatement contre sa poitrine, il babillait quelque sons, bavait, faisait le bébé.

« Les fraises coupées en tranches on l’air moins bonnes qu’entières. »

A deux ans, on ne sait pas vraiment faire grand-chose et pourtant, ce n’est pas censé nous déranger. Mais lui, en bon enfant bien élevé est propre comme un petit noble, mange seul comme un adulte, ne pose pas de questions impolies et gênante et surtout, il sait parler comme il convient. Les grandes demeures raffinées et ses appartements impeccables, aucun jouet trainant sur le sol… en réalité, aucun jouet tout court. Ses parents avaient voulu l’enfant le plus sage du monde, l’amuser mettrait en cause l’œuvre de leur vie. Surtout qu’en réalité, ils avaient voulu une fille. Une jolie jeune fille ayant hérité de grosses boucles blondes, comme la plus jolie des poupées, une poupée aux yeux bleus, comme il se doit. Une poupée parfaitement polie. Ils avaient du y renoncer car c’était la première fois que cette mère, la grande dame Ferglissens avait réussit un enfant après quelque vingtaine tentatives. Et le désir d’avoir un enfant passait avant tout le reste, qu’il soit blond ou non, qu’il ait les yeux bleus ou non.
Ces parents voulaient tout de même le façonner, juste pour la satisfaction d’avoir un enfant plus intelligent, plus beau, plus mature et surtout, plus artistique que celui de la famille rivale Dervendich qui avait décidé d’essayer de toujours faire mieux.
Aujourd’hui, son programme était particulièrement chargé : il avait ses cours de lecture, d’écriture, de peinture et de piano. Car toutes les personnes modèles savent jouer au piano.
Il avait un certain talent dans ces matières. Il écrivait déjà parfaitement l’anglais, et le français qu’il savait parler couramment était aussi une mince affaire pour lui. Cette impression qu’il donnait, cette facilité à tout, il en était fier, et presque hautain envers ces personnes imaginaires qu’il s’inventait pour narguer des personnes. Bien sûr, il faisait toujours bonne figure avec les enfants des invités de ses parents qui coupaient court aux présentations en avouant qu’il avait encore des cours. Travailler, travailler, travailler. C’était en quoi se résumait sa vie, actuellement.

« La douleur est le résultat d’un bonheur égoïste comme la haine résulte de l’amour. »

Quatre ans. Il n’avait pas le droit d’aller à l’école, pas le droit de voir des amis qu’il n’avait pas. Les génies sont seuls car personne ne peut les comprendre. C’était ce qu’il se disait, pourtant, il y avait toujours cette même mélancolie, ce même désespoir secret face à ses professeurs qui si carrés qu’ils n’acceptaient aucun écart, cette même amertume en voyant dans la rue des enfants s’interpeller alors que lui, il était dans sa voiture de collection en train de se diriger vers une librairie. Car c’était son seul échappatoire, sa seule réponse face à ce monde clos.
« Mère, vous savez, on dit qu’un enfant de mon âge devrait apprendre à vivre en société et cela est très important pour l’avenir. Je l’ai lu dans un livre, vous savez. Un livre sur la psychologie des enfants de trois à six ans. » Il leva les yeux pour observer le visage de sa mère. Elle se mordait nerveusement la lèvre inférieure.
« D’accord, » chuchota-t-elle « tu vas aller à l’école. »
Elle avait accepté, sans rechigner ? Il resta cependant neutre et savoura sa victoire avec son esprit.
Il était censé être inscrit le mois prochain dans une école privée pour des enfants de riches, c’était ce qu’il avait compris, du moins. Il fallait qu’il apprenne à écrire les chiffres qu’il connaissait pourtant en lettres. Ce ne fut pas difficile, pourtant.
« Quand je serai à l’école… » Se disait-il, « je n’aurais plus que les cours de peinture, piano et coréen à la maison ! »
Il se souriait à lui-même, observant son regard à travers le rétroviseur. Il serait le meilleur.

« La vastitude des sentiments est supérieure à la réalité. »

L’examen d’entrée d’école. Elle était franco-anglaise, il y avait donc des mots dans les deux langues.
C’était trop simple. Les calculs étaient insignifiant, il l’avait rendu en quinze minutes alors qu’il était censé duré une heure. La professeure lui avait dit d’attendre dans une salle où l’on apercevait par la fenêtre la classe utilisée pour l’examen. Il avait bien fait d’apporter un livre, il savait que cela allait se terminer de la sorte. Il observait le frissonnement des sourcils de la maîtresse. Oui, Il en était sûr, il avait fait un sans faute. Elle appela avec empressement quelqu’un au téléphone, elle devait parler à voix basse pour ne pas déranger les enfants. Quelques minutes après la fin de ce coup de fil, une jolie jeune femme s’approcha de moi pour me murmurer que j’avais sauté des classes, elle me demanda mon avis car mes parents avait déjà dit oui, sans gêne. Lui, avec seulement quatre ans, allait entrer en CE1 ? Etait-ce seulement possible ? Il allait bien sûr avoir cinq ans dans quelques semaines, mais de là à… Il hocha timidement la tête, la dame sourit. Elle me mena vers une classe calme, ils étaient en train de faire des exercices ; la jolie femme le tenait encore par la main quand ils entrèrent. Il entendit un garçon pouffer au dernier rang, il lui envoya son regard noir le plus glacial qu’il connaissait. Le garçon du fond éclata de rire, la maîtresse demanda le silence alors qu’elle chuchotait avec la femme qui avait fini par le lâcher.
La professeure s’éclaircit la gorge avant de vaguement le présenter. Elle lui donna la place d’une fille au premier rang – qu’il remercia timidement – car il était nettement plus petit que les autres.
La maîtresse commença sa leçon. Il était déjà en avance sur eux, ça promettait. Pour lui, la difficulté n’était pas très élevée, d’ailleurs. Il s’en demanda même comment faisaient-ils pour ne pas déjà savoir ce strict minimum ?

« Ecrire sur les tableaux ralentit le cerveau. »

Huit ans. Une époque pas vraiment particulière. La fameuse mère de Moho l’avait inscrit à un cours de cuisine et il ne pouvait se soustraire à ses obligations. Sa mère lui avait fait arrêté la peinture et le piano d’ailleurs pour les remplacer contre ces fameux cours de cuisine et… pour la première fois de sa vie, il avait fait un choix pour lui, il prenait maintenant des cours de violoncelle.
L’école. Il en avait changé pour une école anglaise car ses parents étaient devenus complètement fous. Pour être sûrs de la maîtrise complète des langues qu’il connaissait, son père lui parlait entièrement en français et sa mère rien qu’en coréen. Il était sûr qu’ils voulaient le tuer. Ca avait certes amélioré ses compétences, mais il trouvait ça superflu !

« J’ai toujours cru que les étoiles étaient découpées dans le ciel. »

Quinze ans. Il avait définitivement fini ses études secondaires dans la meilleure des écoles en vogue : Black Velvet. C’était bien d’ici que sortaient les meilleurs et il comptait bien faire partie de l’élite ! Et avoir son agrégation et son doctorat ne serait qu’un petit plus. Il s’en alla dans l’une des meilleures universités françaises, alors.

« Les pêches n’ont jamais poussé sur des pruniers. »

Dix-sept ans. Les choses changent, normalement. On cesse un petit peu d’être stupide comme tout et on réfléchit à ce qu’on a fait. De temps en temps.
Lui, non. Il marchait si tranquillement dans la rue pour rentrer chez qu’il l’avait vue, elle, la plus belle fille de son université, au bras d’un gars qui l’embrassait goulument. Il semblait être le genre de types à faire des coups d’un soir. Pourtant, elle n’avait pas tellement l’air d’apprécier. Il faisait sombre, les étoiles se mettaient déjà à briller aux côtés de la lune éclatante. Il plissa ses yeux plus obscurs encore que les plumes des corbeaux. Elle tentait de le repousser. Elle se débattait. Etait-ce de la pitié ? Etait-ce une envie de jouer à l’héro ? Etait-il un prince qui se devait de secourir la jolie princesse ?
Il ne réfléchit même pas à ce qu’il faisait, il le dégagea brutalement, prit la fille par la main et s’enfuit, le souffle court. Elle ne devait pas comprendre, elle ne devait pas savoir. Il entendant ses pas mêlés aux siens, et plus loin, il sentait les vibrations de ceux de l’inconnu… Sa vitesse décupla, mais la fille la retardait. Que faire ? Une porte claqua brutalement.
J’avais crié une adresse au taximan en l’inondant de mille et un « s’il vous plaît ». Il fonça. Le brun vit l’homme menaçant s’effacer loin derrière. Ce violeur n’avait pas pu le voir de face, il se sentait sauvé.

Il paya la course avant de monter en son appartement. Un quartier de riches : appartement de riche. Les pièces étaient grandes et de plus insonorisées. Tout était décoré de façon fantaisiste, tout était fait de sa passion artistique qu’il n’avait jamais étouffée.
Elle était encore tremblante de peur, mais c’était simple de distinguer cette légère jalousie mêlée à la découverte de l’endroit. Tout le monde savait qu’elle n’était pas pauvre, mais pas si riche non plus. C’était sûrement normal…
« Il t’a un peu amochée. Il était donc bourru au point d’abîmer une jeune fille… » Le jeune homme ouvrit la porte de la salle de bain. « Tu devrais te laver le visage… ah, et, j’ai oublié de me présenter. Je suis Moho Ferglissens et toi tu es bien Anne Devangier, n’est-ce pas ? Nous sommes à la même université, à vrai dire… Ahem, je te laisse te doucher si l’envie te prend… Il y a des serviettes dans la commode sous l’évier. Si tu veux des pansements, il y en a dans l’armoire en verre, près de la baignoire. »
Le luxe, tout ce qu’il y avait dans cet appartement l’était à part peut-être le réfrigérateur qu’il avait trouvé sympathique et pourtant pas si cher. Il se laissa, las, tomber dans le canapé devant la télévision. Et s’il le retrouvait ? Et s’il avait fait suivre le taxi ? Et s’il allait le tuer ? Il se mordilla nerveusement la lèvre inférieure.

« Les lumières blanches ont toujours donné un air lugubre. »

Dix-neuf ans. Finalement cette fille avait fini par devenir son amie, puis ils s’étaient rapprochés jusqu’au stade Pires Potes, ils se connaissaient sur le bout des doigts. Elle avait même réussi à le sortir de sa solitude et l’avait lentement mais sûrement greffé à un groupe d’amis soudés et de toutes les couleurs qui l’acceptèrent avec peu de réticence.

« Le ciel est superbe au coucher du soleil. »

Vingt-trois ans. Objectifs atteints. L’agrégation, le doctorat, toutes ses ambitions… il était maintenant un professeur de français et de littérature. Il avait réussi ce concours si dur où il avait dû étendre ses capacités, où il s’était senti à sa place. Pendant un mois il s’était offert des vacances au Japon et avait dépensé des sommes exorbitantes pour combler cette joie immense.
Il s’était détendu aux thermes, s’était fait masser, avait même accepté une séance d’acuponcture… Pour revenir en tant qu’homme le plus détendu du monde.
Mais c’était maintenant le moment de chercher un travail, et il avait déjà une idée en tête…

« On peut imaginer que les chats et les chiens se détestent, mais pourtant, les miens se font l’amour. »

Vingt-quatre ans et quelques. Il avait commencé à travailler, enfin, dans une université. Sûrement parce que c’était mieux payé, mais on ne nous en veut pas ‘avoir sa part de cupidité. Le travail à fournir était plutôt harassant. On ne savait trop où donner de la tête et les heures de recherches étaient pires encore, si ça se pouvait, ce dont il n’était pas certain ! Après une année à s’épuiser le soir, il avait conclus que la vie active n’était pas de tout repos, même si les horaires de professeurs semblent pourtant convenables.

« On dit de mordre la vie à pleine dent, comme les pommes, mais moi je ne préfère pas essayer, je n’aime pas me faire mal à la langue. »

Vingt-cinq ans. Il sautait de joie, la vie était belle ! De plus, revivre à Londres lui avait rappelé les beaux garçons et les très jolies filles qui trainaient dans les rues. Au moins, il savait quoi faire, s’il s’ennuyait avant ou après les cours !
Sinon, il avait choisit, bien évidemment de partager sa chambre avec de très chers inconnus qu’il avait déjà hâte de rencontrer. Il sentait déjà que son année serait pleine de rebondissements. De plus, le fait d’avoir choisi aussi stricte allait remettre en place toutes ses pensées. C’était partie, la machine était lancée !



Derrière l'écran

Pseudo : Nys.
Comment vous nous avez découverts ?: Via un topsite.
Commentaire ?: Bah... J'ai rien à redire à par que mon image, plus haut, bah elle va pas avec le forum. == Ah ! Aussi, je préférais l'histoire de cuisson de filles. ewe Je préférais l'ancienne fiche tout court, en fait. ;w;
Comment s'appelle ton chien ? : Mais son nom commence pas par "M" ! ;w; Bon... Maryovic.


MAPYDEW


Dernière édition par Moho Ferglissens le Dim 30 Sep - 13:48, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Délia Gomez
Black Velvet
Délia Gomez

Messages : 644
Points : 647
Date d'inscription : 06/10/2011

Carte étudiante
Groupe : Black Velvet
Année : 2e année
Liste des cours à l'horaire:

... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: Re: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] EmptyDim 30 Sep - 10:56

Un homme, un enseignant qui plus est \o/

Je t'aime déjà blush

Bienvenue ! Et préviens-nous quand tu auras terminé ta fiche.

Et quand tu seras validé... inscris-toi à l'évènement. Il faut bien des profs pour surveiller ces étudiants débiles. :D
Revenir en haut Aller en bas
Moho Ferglissens
Professeur
Moho Ferglissens

Messages : 26
Points : 105
Date d'inscription : 30/09/2012
Localisation : Au coeur d'une symphonie.

Carte étudiante
Groupe : Enseignants.
Année : /
Liste des cours à l'horaire:

... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: Re: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] EmptyDim 30 Sep - 13:47

Oh c'est gentil de m'aimer bien. >w< Et merci. D'ailleurs, là j'ai fini, si quelqu'un me dit qu'y a un truc qui cloche, euh... Bah je l'enculerai dans ma tête (ou paw).
Revenir en haut Aller en bas
Léandre Lambert
Black Velvet
Léandre Lambert

Messages : 101
Points : 376
Date d'inscription : 02/09/2012

Carte étudiante
Groupe : Black Velvet.
Année : 3ème année.
Liste des cours à l'horaire:

... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: Re: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] EmptyDim 30 Sep - 13:52

Bienvenuuuuue !

Un prof de littérature anglais/coréen/français ? Wahou.
(En bon nationaliste, j'vais te foutre la misère, bwehehehehehe).
Revenir en haut Aller en bas
Délia Gomez
Black Velvet
Délia Gomez

Messages : 644
Points : 647
Date d'inscription : 06/10/2011

Carte étudiante
Groupe : Black Velvet
Année : 2e année
Liste des cours à l'horaire:

... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: Re: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] EmptyDim 30 Sep - 17:25

Bon, bon.

En général, je laisse toute la job à Abriel. Mais il a insisté pour que je valide l'une des deux fiches xD

Ta présentation est bonne, tu es validé.

Amuse-toi et ne nous quitte jamais :)

PS : Je t'ai rajouté 2 points puisque tu joues un mâle prof :)


Dernière édition par Délia Gomez le Dim 30 Sep - 23:29, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Abriel B. Vaughan
Rusty Nail
Abriel B. Vaughan

Messages : 1195
Points : 1454
Date d'inscription : 08/02/2011
Age : 33

Carte étudiante
Groupe : Rusty Nail
Année : 2e
Liste des cours à l'horaire:

... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: Re: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] EmptyDim 30 Sep - 18:03

Et moi je fais que passer pour te souhaiter la bienvenue. :)

N'oublie pas de passer faire tous les petits trucs chiants : signaler ta tâche de prof, fiche de liens, etc.

À bientôt en jeu j'espère. ^^
Revenir en haut Aller en bas
http://ur-sick.purforum.com
Moho Ferglissens
Professeur
Moho Ferglissens

Messages : 26
Points : 105
Date d'inscription : 30/09/2012
Localisation : Au coeur d'une symphonie.

Carte étudiante
Groupe : Enseignants.
Année : /
Liste des cours à l'horaire:

... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: Re: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] EmptyMar 2 Oct - 13:13

Vous êtes tous de très gentils chats. :3 A part toi Léandre, tu me fais peur. En tous cas, j'ai hâte de Rp même si je suis extrêmement lente pour répondre et que j'ai toujours cette stupide manie d'appuyer sur l'accent grave au lieu de mettre un accent circonflexe à "extrêmement". Ah, je serais surtout présente le week-end et pendant les vacances, évidemment. Bref, c'était juste pour signaler, au cas où...

Je vous colle la bise même si je vous connais pas (ah, mon affection).
Revenir en haut Aller en bas
Abriel B. Vaughan
Rusty Nail
Abriel B. Vaughan

Messages : 1195
Points : 1454
Date d'inscription : 08/02/2011
Age : 33

Carte étudiante
Groupe : Rusty Nail
Année : 2e
Liste des cours à l'horaire:

... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: Re: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] EmptyMar 2 Oct - 22:04

Faut pas culpabiliser pour les réponses lentes .... les deux admins sont fortiches là-dessus.
Revenir en haut Aller en bas
http://ur-sick.purforum.com
Contenu sponsorisé



... Et si je me cachais ? [finie] Empty
MessageSujet: Re: ... Et si je me cachais ? [finie]   ... Et si je me cachais ? [finie] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

... Et si je me cachais ? [finie]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Black Velvet  ::  :: l'admission :: présentations acceptées-