Black Velvet
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 Lenny - Arm your eyes [End]

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MessageSujet: Lenny - Arm your eyes [End]   Lenny - Arm your eyes [End] EmptyDim 8 Avr - 7:17

Lenny Thomson ▲ dossier scolaire

Don't care what people say, I'm dreaming louder everyday

Lenny - Arm your eyes [End] 45103110

    INFOS GÉNÉRALES


    → NOM:Thomson
    → PRÉNOM: Lenny
    → ÂGE:17 ans
    → ORIENTATION SEXUELLE: Hétéro
    → GROUPE:Rusty Nail
    → VACANT: Non
    → AVATAR: Kenneth McCormick, de South Park




    INFOS PERSOS


    → ORIGINES(S):Américain, mais nés d'immigrants slaves.
    → SURNOM(S)://
    → AMBITION: Se barrer de Black Velvet. Trouver un coin désert où passer le reste de sa petite vie.
    → ANNÉE:
    → EMPLOIS: //
    → PHOBIE(S): Agoraphobie, ainsi qu'une tendance générale à avoir peur de tous les individus qu'il croise.



your look


    CARACTÉRISTIQUES


→ TAILLE: 1m74
→ POID:60kg
→ CHEVEUX:Blond pâle
→ YEUX:Bleu-gris



    SIGNES PARTICULIERS

Un bon nombre de cicatrices aux poignets et sur les avants-bras, ainsi qu'une discrète juste en dessous de l’œil gauche. Presque constamment affublé d'au moins un pansement ou bandage. Et une forte tendance à s'emmitoufler dans des couches de vêtements chauds, y compris en été. S'obstine d'ailleurs à garder sa capuche sur la tête, en dépit de toutes les remontrances que cela peut susciter.


your psychology


    GOÛTS

Un Lenny heureux est un Lenny enfoui sous sa couette, son casque sur les oreilles, la musique au volume maximal. Avec quelques substances illicites dans les veines, ce serait le pied, mais peut-être ne faut-il pas trop en demander. Il n'aime ni l'agitation, ni le bruit, sauf celui qui sort de son MP4, et encore moins la compagnie, à quelques très rares exceptions près. Plus prosaïquement, il est extrêmement frileux et ne supporte pas les températures inférieures à 20°C, mais préfère de loin la pluie au soleil (vous avez dit paradoxal?). Il déteste manger, c'est une activité bien trop dangereuse à son goût, on ne sait jamais ce que le cuisinier a mis dans son plat. A vrai dire, sa seule activité qu'il considère comme parfaitement sûre est l'hibernation intensive. Il déteste la plupart des activités sportives, sauf la course. Ça lui donne l'impression de pouvoir s'échapper...

    CARACTÈRE

[Il a ces yeux sans lueur et ce hargneux de chien trop souvent battu et désormais prêt à mordre au moindre geste brusque. Emmitouflé sous ses couches de vêtements, caché sous sa capuche ou dissimulé derrière ses boucles ternes, Lenny donne à la fois l’impression d’avoir peur du monde entier et de vouloir le détruire rageusement. Et en fait, il effraye autant qu’il est effrayé. Sa paranoïa chronique le rendrait presque dangereux. Vous lui tendez la main pour l’aider à se relever, et lui vous tord le poignet pour, croit-il, vous empêcher de lui griffer le visage. Vous lui proposez votre Yop, il vous le renverse sur la tête, votre sale yaourt empoisonné. Agressif de peur d’être agressé, il parle crûment mais mesure toujours soigneusement l’impact de ses paroles. Pas question d’aller chercher des noises à plus costaud que soi, à moins d’avoir de quoi se défendre. Mais allez faire entrer un couteau à cran d’arrêt dans cette saleté d’établissement pour gros richards ! Ce qui est paradoxal, dans tout ça, c’est qu’il est terrifié à l’idée qu’on lui fasse du mal, et passe son temps à s’en faire. Lenny, c’est en moyenne une pseudo- tentative de suicide par semaine. Pesudo, parce que s’il avait vraiment l’intention d’en finir, c’est pas les moyens efficaces qui manqueraient. Mais arrivé au moment crucial, il finit toujours par paniquer et courir à l’infirmerie avec son poignet à moitié entaillé. Avant, pour éviter tout ça, il y avait la morphine. Mais allez essayer de trouver une dose suffisante de ce genre de substance dans une putain d’école de bourges ! Avant Black Velvet, Lenny était en train de virer au légume, abruti par les stupéfiants, somnifères et autres joyeusetés de ce genre. Maintenant, il traîne péniblement son manque une moitié de son temps, et passe l’autre moitié dans un état d’excitation rageuse, à exprimer sa frustration sur tout ce qui lui passe sous la main. Au moins, avec lui, pas de favoritisme ou de discrimination : n’importe qui est susceptible de vouloir attenter à sa vie, sa tranquillité ou son intégrité. Y compris la gamine haute comme trois pommes, là-bas, évidemment ! Vous ne saviez pas que les plus petits étaient les plus vicieux ?
Lenny se réfugie comme il peut dans la musique et, étonnamment, la poésie. L’acte le plus vil que vous pouvez lui faire subir, bien pire que les Yop empoisonné ou la confiscation du seul somnifère qu’il a pu chourer à l’infirmerie, c’est de lui piquer son MP4. En même temps, c’est à peu près l’équivalent d’une demande de lapidation. Parce qu’en dépit de sa silhouette chétive, Lenny fait des dégâts qui il s’agit de sauver son précieux. Il se bat un peu à la manière d’une hyène : des coups fourbes et pas toujours très puissants, mais innombrables et dévastateurs à la longue. Et quand la panique prend le dessus, il ne réalise plus bien ce qu’il fait. Pour peu qu’il ait récupéré une fourchette à la cantine, ça pourrait vraiment mal tourner. Et pourtant, au fond, il ne veut faire du mal à personne, Lenny. Si il arrivait qu’on le traite avec douceur, il pourrait peut-être même faire preuve d’une maladroite gentillesse… Mais tout le monde est toujours contre lui, et personne ne comprend jamais qu’il s’agit de légitime défense. C’est un cercle particulièrement vicieux, et Lenny n’a jamais eu le courage d’essayer de le briser. Alors il continue à se cacher sous ses vêtements trop larges, à fuir dans la vie en rêvant de s’envoler vers un endroit désert, sans personne pour attenter à sa pauvre existence.

    SECRET(S) ?

Il est quasiment persuadé d'avoir tué un type, et ça le travaille méchamment, mine de rien. Il en fait des cauchemars la nuit et se réveille en pleurnichant. Mais il étranglera sans remords (immédiats) quiconque l'apprendra et s'amusera à le crier sur les toits. Avis à ses futur(e)s camarades de chambre...
Sinon, Lenny est un diminutif. Sur sa carte d'identité, il est indiqué "Leonhard Thomson". Mais à choisir, il préfère encore le surnom aux consonnances vaguement féminines que l'original. Il n'utilise donc jamais son vrai prénom, et est prêt à planter une fourchette dans la main de quiconque s'y risquerait.

    POSSESSIONS

Outre son MP4 qui, quand il n’est pas vissé sur ses oreilles, est soigneusement rangé au fond d’une de ses poches, il essaye d’avoir toujours un objet pouvant potentiellement servir de moyen de défense sur lui. Comme les couteaux suisses et autres joyeusetés sont peu tolérées dans l’établissement, il se rabat sur ceux à bouts ronds de la cantine, ce qui est tout de suite moins classe quand il le brandit de façon menaçante, mais on ne peut pas tout avoir, hein. Parfois, il n’arrive pas à chourer un couteau, alors il se trimballe avec une panoplie de fourchettes ou de petites cuillères. Ça peut toujours servir à crever l’œil de son agresseur…


your story


    FAMILY

Amalia Thomson (mère) : Pas méchante, mais d’une faiblesse déplorable, elle n’a pas trouvé de meilleur moyen d’assurer sa survie et celle de ses enfants après la mort de son mari que de devenir l’amante secrète d’un homme aussi détestable que riche, qui l’entretient en échange de ses charmes. Lenny a parfaitement conscience de la source de revenus de sa mère, et ça le dégoûte viscéralement, mais il n’ose pas exprimer ses reproches car il n’aurait pas d’alternatives à proposer. Un silence gêné s’est installé entre eux depuis de longues années. Aucun des deux n’a jamais essayé de briser cette distance pour renouer avec l’autre.

Kayneth Thomson (père) : petit dealer sans prétention, il s’est retrouvé il y a une dizaine d’années de cela pris dans un conflit entre deux grands cartels de drogue, et s’est fait assassiner au cours de la confrontation. Lenny avait à peine 8 ans à l’époque, il ne garde que le souvenir d’un homme fatigué et désabusé.

Alexa Thomson (sœur) : elle est sa cadette de six ans, une gamine adorable. Il n’est pas très rassuré de la savoir seule avec sa mère dans une ville inconnue, peut-être aussi dangereuse que la précédente. Il aurait aimé pouvoir dire qu’il la protégerait à tout prix, mais il a vite pris conscience qu’il en était incapable. C’est pourtant pour elle qu’il a successivement embrassé, puis laissé tomber le monde du trafic illicite. Si un jour il parvient à échapper à Black Velvet et à la prison qui l’attend probablement à sa sortie, elle sera la seule qu’il emmènera avec lui dans son île déserte utopique…

    STORY

Lenny est né dans le sud Etats-Unis, à la frontière avec le Mexique, dans un de ces quartiers pauvres à l’excès dans lesquels la seule loi encore en vigueur est celle de la violence. Fils d’immigrants slaves, il a toujours fait un peu tâche au milieu des gamins aux origines latinos bien marquées. Boucles blondes et peau caucasienne au milieu des teints mats et des mèches brunes, entre gosses, il n’en fallait pas plus pour désigner un bouc-émissaire. Cogner pour éviter d’être cogné. Il ne lui a pas fallu longtemps pour intégrer définitivement la règle. Le problème, c’est qu’il n’avait pas été spécialement gâté par la nature question carrure. Il adopta alors la technique « je-donne-un-pain-pour-sauver-l’honneur-et-je-me-barre-en-courrant », qui s’avéra relativement efficace au vu de sa vivacité naturelle, et lui permit de s’en tirer sans trop de dégâts jusqu’à ce qu’il soit en âge d’intégrer une petite bande de gamins défavorisés qui passait la moitié de son temps à chercher des noises à une autre bande et l’autre à jouer les pickpockets en herbe. La violence était déjà sous-jacente, mais ça restait dans le domaine des jeux d’enfants…

Le jour où il apprit que son père ne reviendrait plus, il commença à avoir peur. Pas une peur de gamin qui tremble à l’idée du monstre sous son lit. Une peur mature et sinueuse qui s’incrustait déjà définitivement dans ses entrailles. Il n’avait jamais été très téméraire, il faut bien le dire, mais il n’avait sûrement pas bien réalisé alors que la vie n’était pas semblable aux séries télévisées meurtrières qu’il regardait -bien que ce ne soit pas de son âge- dans lesquelles il suffisait d’appuyer sur le bouton du poste pour faire disparaître les morts. Il n’avait pas le souvenir d’avoir vu son père vraiment heureux, et maintenant, il n’aurait plus l’occasion de l’être. C’était presque ça le plus flippant. Lenny ne voulait pas finir comme ça. A l’époque, il se jura qu’il se tirerait de ce quartier pourri. Qu’il travaillerait dur à l’école pour avoir un travail respectable et bien payé, comme sa mère le lui recommandait. Il était plein de bonnes intentions, Lenny, mais pas encore assez lucide. Rien n’était aussi simple.

Aux alentours de ses 14 ans, Lenny avait abandonné l’espoir de s’en tirer grâce aux études. L’enseignement qu’on leur dispensait dans le collège usé du quartier était aussi bancal qu’inintéressant. Sa mère était tout aussi désabusée. Elle fréquentait un truand richissime depuis déjà trois ans. Et au milieu de tout ça, il y avait Alexa. 8 ans, encore ingénue. Mais à ce train, elle prendrait rapidement le même chemin que son aîné. Lenny en était malade rien que d’y penser. Il aurait aimé pouvoir l’emmener loin du quartier. Il ne demandait pas le grand luxe, juste une banlieue plus paisible, moins instable et moins destructrice. Mais pour ça, il fallait de l’argent. Et le sale type qui achetait sa mère savait où était son intérêt : il donnait juste assez pour que la petite famille subsiste, pour ne pas courir le risque de voir son amante s’enfuir vers des sphères supérieures.
C’est alors que Lenny décida sur un coup de tête d’aller chercher l’argent là où il se trouvait. A savoir dans les trafics douteux de substances illicites qui florissaient dans les environs, largement alimentés par la proximité avec le Mexique. C’était mettre le doigt dans l’engrenage, mais c’est encore un truc qu’il n’avait pas bien réalisé…

Se faire engager en tant que « coursier » ne fut pas un problème. Il était relativement connu dans le coin, autant pour son physique atypique que pour son intégrité. Dans le sens où n’avoir jamais trempé dans des affaires louches à 14 ans était tout à fait exceptionnel au sein du district. Lenny Thomson était parfaitement clean, c’était bien connu. Et il n’avait qu’à faire quelques livraisons en toute discrétion. La marchandise était de petite taille, légère, facile à dissimuler. Il suffisait de traîner en vélo comme il avait l’habitude de le faire, en déposant les sachets aux bons endroits sans être vu. Un jeu d’enfant. Pensait-il.
Il ne lui fallut pas plus de deux jours pour comprendre l’enjeu de ces petits paquets qu’il dispersait dans le quartier, et pour réaliser que l’entreprise était tout sauf aisée, et encore moins sûre. Le dealer avait été très clair :
Il perdait un sachet, il était mort. Il le donnait à la mauvaise personne, il était mort. Il se faisait repérer par un cartel concurrent, il était mort. Il se faisait prendre par la police, il était mort aussi au vu du pourcentages de flics corrompus. Il essayait d’abandonner le job, il était mort, il en savait trop. Au moindre faux pas, il finirait comme son père. La seule variable était l’identité de son assassin. C’est là que la peur vira à la paranoïa maladive.

Pendant deux ans, Lenny ne dormit que d’un œil, les précieux sachets sous son oreiller. Il sursautait au moindre bruit suspect, avait l’impression d’entendre en permanence dans son dos le murmure caractéristique d’un revolver qu’on arme, tremblait lorsqu’il était sorti de retrouver en rentrant sa mère ou pire, sa sœur, le corps brisé dans une mare de sang.
Quand on lui proposa une partie de son payement en marchandise, il commença par refuser. Avant de céder au bout de quelques moins, fatigué d’être constamment assailli par la peur. Il n’avait qu’à prendre les drogues les plus douces, juste une fois de temps en temps, pour atténuer ses angoisses…

Le meurtre d’un dealer important réveilla un beau matin les tensions jusque là à demi-enfouies entre les deux cartels qui se partageaient le marché des stupéfiants. La violence redoubla dans le quartier. Pour pouvoir assurer la sécurité de sa marchandise, on confia à Lenny un petit revolver après lui avoir appris basiquement à s’en servir. On aurait pu croire que la possession d’une arme beaucoup plus efficace que ses couteaux à crans d’arrêt le rassurerait, mais il n’en fut rien.
Il fut pris dans une fusillade de laquelle il ressortit avec un entaille aux bras et une à l’abdomen pour avoir été frôlé de trop près par des balles. Deux jours plus tard, une violente altercation avec un dealer rival lui laissa une cicatrice à vie sous l’œil gauche, et une autre dans l’âme : pris de panique, il avait appuyé sur la gâchette sans même y penser. Il ne savait pas si l’autre s’en était tiré, où s’il avait commis son premier meurtre, mais de toute façon, il y aurait des représailles. Forcément. On voudrait sa peau, encore plus qu’avant. Ils le retrouveraient où qu’il aille. Il était pour ainsi dire déjà mort.

Il ne dut son salut qu’à une intervention inespérée d’un contingent de police qui avait daigné montrer son nez dans le quartier histoire d’atténuer un peu les tueries. A ce rythme, la quartier aurait vite fait de faire éclater le taux de criminalité de la ville, c’était mauvais pour l’image du maire, et ce n’était pas le bon moment : les élections étaient programmées pour dans un mois.
Lenny fut dénoncé, arrêté. Il refusa de parler, on lui donna quelques baffes avant de lui proposer aimablement un programme de protection pour lui et sa famille. Évidemment, il n’échapperait pas à la loi, et serait poursuivi pour trafic illicite, voire homicide involontaire, mais ce serait toujours mieux que d’être si pieds sous terre, n’est-ce pas ? Devant tant d’arguments rationnels, sans compter les baffes, un peu moins rationnelles, mais tout aussi efficaces, Lenny accepta à contrecœur. En souhaitant sincèrement que ce nouveau départ soit l’occasion pour sa sœur d’échapper définitivement au monde dans lequel il avait plongé à pieds joints. Il avait moins d’espoir pour lui. Les trafiquants étaient tenaces, il était sûr qu’ils étaient capable de le retrouver, programme de protection de témoin ou pas. Ils pouvaient être n’importe où, engager n’importe qui. D’ailleurs, ce policier, là, le regardait d’un air bizarre…

Il passa quelques mois dans un centre de rééducation, avant d’en être expulsé car il était évident qu’il n’avait pas grand-chose à y faire. Il était moins violent et mauvais que la moyenne des délinquants qui s’y trouvait, mais de toute évidence beaucoup plus atteint mentalement parlant. Il en devenait presque plus dangereux que les autres pensionnaires, à sauter à la gorge des gardiens en braillant qu’il ne se laisserait pas faire et qu’il en faudrait plus pour l’assassiner. Mais dans un environnement calme et stable, il était susceptible de retrouver un semblant de rationalité, après tout, le psychologue l’avait décrit comme « dépourvu de toute intention malveillante innée » (ou un truc du genre).
On évoqua le projet Rusty Nail, décida à sa place que c’était que qu’il y avait de mieux à faire pour lui, et un mois plus tard, il entrait à Black Velvet, déjà persuadé que le cuisinier l’avait regardé de façon menaçante et qu’il allait empoisonner son café matinal. Autant dire qu’on est pas sorti de l’auberge…


i'm pseudo & i'm a geek


Lenny - Arm your eyes [End] 1190844


    → ÂGE:16 ans
    → SEXE: //
    → CONNECTIVITÉ: 6j/7
    → LE RP ET MOI: Une relation fluctuante, mais on est actuellement dans une phase de grand amour (je ne parle pas du niveau, après...)
    → COMMENT TU LES AIMES, LES FILLES ?:A la broche, avec un coulis d'airelles
    → COMMENT AI-JE ATTERRI ICI:Top-sites, je crois...
    → DES SUGGESTIONS ?:J'ai l'impression que le mode d'édition est automatiquement basculé de la façon qui fait tout buguer (ça doit avoir un nom, mais je suis pas très calée là-dessus... En tous cas, le code de la fiche était complètement défectueux avant que je ne clique sur le bouton... (mais j'ai aussi pu faire une mauvaise manip' T.T)

[quote][u]


Dernière édition par Lenny Thomson le Dim 8 Avr - 17:21, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Lenny - Arm your eyes [End]   Lenny - Arm your eyes [End] EmptyDim 8 Avr - 13:12

Yo ! Bienvenue sur le forum, Lenny. :D

Pour le mode d'édition, je vais aller jeter un oeil. Ça pourrait expliquer que tout le monde rage sur le code de la fiche. x)

J'attends avec impatience le reste de ta fiche.

Aide-mémoire d'admin pour pas tout relire deux fois : secrets, possessions, famille et histoire.\o/
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MessageSujet: Re: Lenny - Arm your eyes [End]   Lenny - Arm your eyes [End] EmptyDim 8 Avr - 17:16


Merci pour ton accueil! o/

A priori, ma fiche est terminée. J'ai juste un doute au niveau de l'année d'étude, je n'ai pas réussi à trouver la correspondance entre les âges et les années (à moins que ce qui soit demandé soit l'ancienneté à Black Velvet? @__@)
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MessageSujet: Re: Lenny - Arm your eyes [End]   Lenny - Arm your eyes [End] EmptyDim 8 Avr - 17:31

Lenny - Arm your eyes [End] 29uzgg6

Un copain Rusty Nail pour Abriel !

Bienvenue officiellement sur le forum. Je valide ta fiche, parce qu'elle est parfaite. Éclate-toi. :D Je te mets ton rang et ton groupe. Le reste est entre tes mains.


Maintenant, penses à:

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MessageSujet: Re: Lenny - Arm your eyes [End]   Lenny - Arm your eyes [End] Empty

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